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Khadidja Zeydane est cette femme tchadienne impliquée dans les guerres au Tchad du côté de ceux qui ont entrainé et mobilisé leurs frères et sœurs tchadiens à se mettre au service de la Libye de Khadafi envahissant et détruisant tout le pays.
Volontairement et sciemment, elle a fait du mal, commis des crimes odieux. Intéressée, elle l’a toujours été, menant une vie d’errance, elle a été payée grassement par Hinda Deby Itno pour porter des accusations contre le Président Habré, elle, mais aussi Hadjé Merami et Haoua Brahim Mardié.
Accuser faussement une personne, lui faire du mal injustement, se positionner comme une véritable ennemie, Khadîdja Zeydane a assumé tout cela, determinée et impudique elle a fait honte à jamais aux siens, montrant une image avilie et souillée de sa personne. Souillée par la corruption de Hinda Deby Itno et avide de l’argent promis par la bande de Reed Brody .
HRW et son gourou Reed Brody l’ont utilisée comme un rouage dans leur machine infernale et leur schéma d’accusations. Dans tout procès pénal international, les ONG occidentales ont décidé de salir les personnes qui y comparaissent-par hypothèse considérées comme ennemies- d’avoir commis des viols.
Avant le Président Habré, on a eu dans l’affaire de la guerre en Libye, la saisine de la CPI contre Khaddafi et ses fils. Après une séance de travail avec les ONG, le Procureur Ocampo avait fait une déclaration accusant Kadhafi d’avoir importé massivement du VIAGRA pour le distribuer à ses militaires pour qu’ils commettent des viols massifs sur les femmes du camp de la rébellion. Accusation grotesque et totalement fabriquée par les ONG, mais reprise par le Procureur de la CPI et lancée à la face du monde.
Ce fut la même démarche avec Khadidja Zeydane et son histoire fabriquée et grossièrement montée, qu’importe si elle n’arrive pas à dater les évènements, ni donner des références précises, qu’importe son maudit passé dans les bas fonds de l’armée libyenne, qu’importe sa proximité avec Hinda Deby Itno. L’essentiel est de faire relayer l’accusation par une presse enrôlée à coups de millions, l’essentiel est aussi que les juges positionnés sont des complices bien choisis et que pour boucler la boucle même les avocats d’office sont bridés et payés par les comploteurs.
Dans ce schéma de soi-disant justice pénale internationale, tout est monté, fabriqué et tous ceux qui y participent sont complices et jouent le jeu macabre d’éliminations de personnes qui, à un moment donné de leur parcours politique, ont mis en cause les intérêts du monde occidental.
Alors Khadîdja Zeydane a agi pour l’argent, elle est consciente qu’en entrant dans le jeu de Hinda Deby Itno, elle entre dans une affaire politique aussi, Hinda etant un des bras armés d’Idriss Deby. Elle a, plusieurs fois, attaqué, dans ses discours, le Président Habré.
Quelques mois à peine, après avoir joué sa partition endiablée, après avoir commis un véritable crime contre la réputation et l’honneur du Président Hissein Habré, Khadidja Zeydane vient de perdre son fils unique surnommé Mahamat « le ROUGE » agent de la police politique d’Idriss Deby, l’ANS. Il était chargé de fliquer les jeunes étudiants tenant des propos contre le régime et de les dénoncer. Il a été féroce lors de l’entrée de la rébellion en 2008 à Ndjamena ; après le retrait des rebelles de la ville, une véritable foudre s’est abattue sur des centaines de jeunes dénoncés par Mahamat « le Rouge » fils de Khadidja Zeydane dite « la Rouge ».
Si notre morale, notre religion et nos valeurs - différentes de celles de cette famille criminelle - nous ont appris de ne point se réjouir de la mort d’un être humain, à Ndjamena, de nombreuses personnes y voient un Châtiment du Tout Puissant, une punition, la foudre divine l’a frappée pour la punir de son action maudite, de ses mensonges, de son crime et ce, avant même la fin du procès, commentent les Ndjaménois.
Son fils atteint d’un paludisme a été transporté à l’hôpital où les médecins sont en grève depuis plusieurs jours, à cause des salaires impayés depuis 5 mois, une grève sans service minimum assuré. Le fils de Khadidja Zeydane est resté, plusieurs jours, sans soins et est décédé.
Où est passé tout l’argent encaissé par cette maudite créature pour ses mensonges dans l’affaire Habré ; où sont passés les Hinda, Reed Brody, Gauthier, Moudeina ? Avec tout ce qu’elle a encaissé, elle devait hospitaliser son fils dans une clinique privée, voire l’évacuer en France ou ailleurs !
Là voilà ! La tragédie tchadienne d’une vagabonde utilisée avec cynisme par les ennemis du Président Habré et jetée à la poubelle de l’histoire comme un kleenex usagé. A méditer !
Comme disait un célèbre poète : « Lorsque votre esprit erre avec le vent, lorsque vous commettez des fautes envers autrui, attendez-vous à ce que le DIVIN vous fasse préjudice à vous même, et malgré vos coups, vous serez dédaigné à la porte des élus. »
La redaction